Le 19 mars dernier, le quotidien de Wall Street, a dévoilé les réticences du gouvernement chinois a laissé les voitures Tesla en libre accès. Pékin souligne ses accusations d’espionnage par le manque de transparence de la marque. Les données récoltées par les huit caméras des Tesla pourraient être revendues à Washington pour surveiller les agissements du pays. Le gouvernement souhaite donc réduire le nombre de voitures américaines au sein des armées et des grandes compagnies. Elon Musk a démenti ces propos qui selon lui manquent simplement de bon sens. « Que vous soyez un groupe chinois ou américain, il vous coûterait très cher de faire de l’espionnage. » Il ajoute ensuite que la compagnie serait fermée si de telles accusations s’avéraient être exactes. Le fondateur de Tesla n’a pas tardé à répondre à ces accusations. En effet, le pays représente près d’un quart des ventes de sa compagnie pour l’année 2020.
Toujours selon le journal américain, ces accusations pourraient être une réponse à la censure de la marque Huawei aux Etats-Unis et en Europe. La marque de téléphonie avait été accusée de vols de secrets commerciaux. Des allégations rapidement démenties par la capitale chinoise. Elon Musk mise sur la collaboration et a terminé son intervention en appelant à la confiance mutuelle entre les deux plus grandes puissances économiques mondiales.
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